Faciliter la gestion d’un immeuble en copropriété n’a jamais été aussi renommée. En effet, après la sortie du logiciel immobilier, bon nombre de particuliers se sont lancés dans le placement dans les biens en copropriété. Et pour cause, moins cher qu’un syndic et plus pratique que de gérer soi-même son bien : l’immobilier connecté présent semble-t-il moult avantages ?

Tout commence par un vote en assemblé général

Comme pour le remplacement ou l’engagement d’un syndic professionnel, opter pour un logiciel immobilier doit se faire en assemblé général. Après tout, les informations qui vont y être postées dépendent de la bonne volonté de l’ensemble des copropriétaires. Ce sont les rapports des réunions qui vont être virtualiser et intégrées sur le profil. Seul un vote en majorité pourra décider si oui ou non vous allez pouvoir profiter des avantages de cette nouvelle technologie.

Si la priorité est à la sécurisation des données, vous pouvez rassurer vos collègues. Les sites utilisent un algorithme spécifique pour que vos informations privées le demeurent. Pour ce qui est du paiement de la prestation, malgré qu’il se fasse en ligne, vous n’avez pas de doute à avoir. Les systèmes de recouvrement sont sécurisés. Tout est fait pour assurer une qualité de prestation aussi bien aux propriétaires qu’aux syndics qui commencent aussi à faire de plus en plus appel à ce genre d’appui.

Il suffit ensuite de choisir le bon prestataire

Si l’utilisation du logiciel immobilier a été acceptée, il ne reste plus qu’à choisir sa plate-forme de gestion. En effet, il ne s’agit pas d’administrer votre bien via une application pour Androïde. Il est question ici d’une gestion via un profil sur une page internet. Et il en existe déjà à profusion sur la toile, ce qui tend à compliquer le choix.

Pour choisir le meilleur prestataire d’immobilier connecté, il existe quelques techniques d’usage. La base reste dans la comparaison des devis. Outre la modicité des services, par exemple, vous devez faire attention aux prestations comprises dans le contrat. Le minimum à avoir est :

• Une grande disponibilité des informations. Vous devez pouvoir y accéder à toute heure et depuis n’importe quel terminal, voire de n’importe où en France. Le but est tout de même de vous faciliter la gestion immobilière et de vous permettre de profiter de tous les renseignements qui peuvent impacter sur le bon fonctionnement de l’immeuble.
• Une mise à jour en temps réels. Le but d’un logiciel immo est de vous tenir au courant au moindre changement. Le syndic a voté pour un budget exceptionnel ? Immédiatement, vous devriez en avoir un rapport sur votre profil.

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Placez vos revenus

La première astuce consiste à consacrer une partie de ses revenus à l’épargne. Laisser son argent sur son compte courant n’est absolument pas productif. Ne vous contentez pas du livret A ou Développement Durable ! Ils ne rapportent plus rien. Privilégiez les placements en assurance-vie qui proposent un taux bien plus élevé. Vous pouvez choisir le niveau de risque de votre placement.

Défiscalisez autant que possible

La défiscalisation n’est pas réservée aux revenus les plus élevés. Plusieurs niches fiscales permettent de réduire (modestement) ses impôts. Par exemple en ne possédant pas de téléviseur, vous êtes exempté de redevance tv (136€ en 2015). Utilisez les Chèques emploi service si vous embauchez une baby sitter. Les heures payées peuvent être déduites d’impôts à 50%. N’oubliez pas également que les dons aux associations sont en partie déductibles d’impôts. Jusqu’à 75% pour les organismes d’aides aux personnes en difficulté.

Investissez dans l’immobilier

Et oui ! Certains investissements dans l’immobilier peuvent démarrer à des prix très bas. Acquérir un bien immobilier vous permet de vous constituer un patrimoine. En plus d’une plus-value à la revente, vous pouvez bénéficier de revenus locatifs en mettant votre logement en location.

De plus, certains types d’investissement vous donnent la possibilité de déduire fiscalement une partie du montant de votre acquisition. C’est par exemple le cas des investissements en LMNP. En acquérant un logement dans une résidence service (EHPAD, résidence étudiante…), vous pouvez bénéficier des avantages fiscaux de la loi Censi-Bouvard. A titre indicatif, un investissement en résidence étudiante nécessite environ 150€ d’épargne par mois pendant 9 ans (en prenant en compte les exonérations d’impôts et les revenus des loyers s’octroyant aux charges).

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Jusqu’à 21% de remise d’impôts

Le principal atout du dispositif Pinel réside dans son taux de défiscalisation. En s’engageant à mettre son logement en location, l’investisseur bénéficie d’une réduction d’impôts s’élevant jusqu’à 21% du montant investi, avec un plafond de 300 000€.

Contrairement à la loi Duflot, les propriétaires peuvent louer leur acquisition à un membre de leur famille. Autre avantage : la loi permet de déduire des loyers perçus des charges comme la taxe foncière, les primes d’assurance ou les intérêts d’emprunts.

Quelles conditions pour défiscaliser avec la loi Pinel ?

Le dispositif impose tout de même de respecter quelques conditions.

Visant à favoriser l’accès au logement, la loi Pinel contraint les investisseurs à mettre en location leur bien pour pouvoir bénéficier du dispositif. Le taux de défiscalisation varie selon la durée de cette mise en location. En s’engageant à louer son bien immobilier pendant une durée d’au moins 6, 9 ou 12 ans, l’acquéreur pourra profiter d’une remise d’impôts de 12, 18 ou 21% de son investissement.

Le bien immobilier acquis doit être neuf et situé dans une des zones éligibles au dispositif. Les zones A bis, A, B1 et B2 dans certains cas sont ainsi concernées. Le logement doit aussi être loué à des locataires dont les revenus ne dépassent pas un certain plafond. Cette limite varie selon la constitution du ménage (une personne seule, un couple avec un enfant, etc.) et la zone éligible. Quant au loyer, il ne doit pas dépasser les barèmes mis en place par le ministère.

Même si ces conditions peuvent sembler drastiques, la loi Pinel représente une excellente solution pour diminuer ses impôts.

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Réduction de l’impôt sur le revenu

La loi Duflot

Mise en place le 1er janvier 2013, la loi Duflot représente une opportunité intéressante en vue de réduire ses impôts sur le revenu. Elle propose un abattement d’impôt de 18% à destination des contribuables envisageant d’effectuer un investissement dans un logement neuf destiné à la location.

La loi Girardin

La loi Girardin permet aux contribuables métropolitains de bénéficier d’économies d’impôts très importantes en investissant dans de l’immobilier neuf situé dans les DOM-TOM. S’appliquant aussi bien à la location qu’à l’habitation, cette loi offre la possibilité d’acquérir plusieurs logements afin de maximiser la réduction d’impôt.

La loi Malraux

La restauration de biens immobiliers anciens situés au sein de secteurs sauvegardés est également une solution de défiscalisation avantageuse. A cet égard, la loi Malraux propose de payer moins d’impôt sur le revenu, la baisse pouvant aller jusqu’à 30% des dépenses engagées dans les travaux de restauration.

L’investissement dans le capital d’une société

Les individus désirant souscrire au capital d’une société en cours de création ou lors d’une augmentation de capital, peuvent obtenir un allègement fiscal de 18% des sommes investies dans l’entreprise.

Les travaux d’économies d’énergie

Un abaissement d’impôt est accordé aux particuliers souhaitant réaliser des travaux d’économies d’énergie au sein de leur logement. Ce dispositif, qui s’inscrit dans le cadre du développement durable, s’applique aux dépenses relatives à l’achat d’équipements d’énergie renouvelable.

Les services à domicile

Les particuliers ayant recours aux emplois à domicile, et notamment aux services à la personne, peuvent profiter d’une réduction d’impôt de 50% des dépenses réalisées. Ces dernières doivent être de nature personnelle et familiale, tout en devant s’orienter vers certains types de prestation tels que les petits travaux de jardinage et de bricolage ou les activités d’assistance informatique et de soutien scolaire.

Réduire son ISF

L’investissement dans les FIP et FCPI

La souscription au capital de PME par le biais de FIP (Fonds d’Investissement de Proximité) ou de FCPI (Fonds Commun de Placement dans l’Innovation) est la solution idéale pour les contribuables disposant d’un patrimoine élevé. En effet, la réduction de l’ISF s’élève à 50% du montant de l’investissement.

L’investissement dans les bois et forêts

Malgré le faible recours à ce dispositif, l’acquisition d’une exploitation forestière peut s’avérer très rentable dans la mesure où elle accorde une exonération de l’ISF égal à 75% du montant investi. Il est à noter qu’en effectuant ce type d’opération, l’investisseur s’engage à gérer ses terrains durant 30 ans.

Autres solutions de défiscalisation

Le placement en assurance vie

Dans l’optique d’alléger votre imposition dès l’année 2014, l’assurance vie représente un placement très avantageux. D’une part, les plus-values bénéficient d’une totale exonération, et d’autre part, les droits de succession sont entièrement exonérés dans la limite d’un montant de 152 500 euros par bénéficiaire.

L’ouverture d’un PEA

L’ouverture d’un plan d’épargne en actions (PEA) vous garantit une exonération d’impôts concernant vos plus-values et vos revenus, à partir d’une période de cinq ans après l’ouverture de votre compte-titres. A compter du 1^er janvier 2014, il vous sera également possible d’ouvrir un PEA exclusivement orienté vers l’achat de titres de PME (Petites et Moyennes Entreprises) et ETI (Entreprises de Taille Intermédiaires).

L’ouverture d’un PERP

Le plan d’épargne retraite populaire (PERP) est un produit d’épargne ayant vocation à compléter la retraite de l’investisseur concerné. Au-delà d’un certain niveau de revenu, le PERP peut être très intéressant puisque les sommes versées sur ce compte sont déductibles du revenu global imposable de l’épargnant, à hauteur de 10%.

L’investissement en location meublée professionnelle

Un autre dispositif de défiscalisation consiste en l’obtention du statut de loueur en meublé professionnel (LMP), qui octroie des avantages fiscaux considérables aux particuliers percevant des revenus importants via la location de biens meublés.

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Acheter en nue-propriété présente de nombreux avantages, tels que succession facilitée, fiscalité allégée et absence de contraintes de gestion ; c’est pour cela que ce système peut intéresser un grand nombre d’acheteurs.

Comment ça marche ?

Le principe est simple, pendant la durée du démembrement, le nu-propriétaire ne peut habiter le logement, il ne s’occupe pas de ses locataires et ne perçoit donc aucun revenu foncier.
Durant 15 à 20 ans, c’est l’usufruitier, le plus souvent un bailleur social, qui touche les revenus locatifs. A la fin de cette période relativement longue, le nu-propriétaire récupère, sans aucun frais, la pleine propriété du bien qui ne souffre plus d’aucune décote, et il peut alors en profiter comme il le souhaite, soit pour l’habiter, soit pour le louer, ou même, pour le céder.

Quels sont les avantages ?

L’achat en nue-propriété permet de bénéficier d’une décote sur le bien immobilier qui peut aller jusqu’à -50%. De plus, ce dispositif concerne, le plus souvent, des programmes neufs, et les frais de notaires en sont donc réduits.
En outre, étant donné que le nu-propriétaire ne s’occupe aucunement de la gestion locative du bien, il n’a aucun frais d’entretien ou de réparation à débourser. Il n’a pas à régler non plus les charges de copropriété ni les travaux éventuels.
Autre avantage non négligeable, si l’achat se fait a crédit, le nu-propriétaire peut déduire ses intérêts d’emprunt de ses revenus fonciers présents ou futurs.

A qui ce dispositif s’adresse-t-il ?

Le dispositif est très intéressant pour tous ceux qui souhaitent se constituer un patrimoine immobilier à moindre coût et sans alourdir leur imposition, puisque, durant le temps de l’opération, le nu-propriétaire ne paie aucun impôt foncier et que la valeur du bien n’entre pas dans la base taxable à l’impôt sur la fortune.
L’achat en nue-propriété peut donc être la solution idéale pour tous ceux qui souhaitent se constituer un complément de revenu pour la retraite, ou bien encore pour ceux, déjà propriétaires d’une résidence principale, et qui ont pour projet de déménager une fois retraités.

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Si vous désirez payer moins d’impôts, l’investissement immobilier reste à mon sens une des solutions les plus efficaces. En effet, l’investissement immobilier locatif permet de défiscaliser une partie de votre investissement, et donc de réduire ses impôts.

Un simulateur d’impôt sur le revenu

Mais avant tout, il va s’agir de connaitre le montant de vos impôts en 2014. Pour cela, c’est très simple, le site des impôts a mis en place un simulateur très bien fait qui vous permettra d’avoir un aperçu de combien vous allez devoir débourser en septembre 2014.

Pour réaliser une simulation sur votre impôt sur le revenu, cliquez sur le lien ci-dessous:

Simulateur impôt sur le revenu

Si vous avez la moindre question, ou si vous désirez faire appel à un professionnel pour vous conseiller sur votre déclaration d’impôt, je vous invite à me contacter.

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Fonds d’investissement, ce n’est pas si compliqué!

Plus particulièrement, ces investissements peuvent s’orienter vers un portefeuille d’actifs diversifiés. Les investisseurs peuvent ainsi opter pour différentes catégories de fonds d’investissement. Parmi elles, les fonds monétaires correspondent aux investissements en produits monétaires, comme les billets de trésorerie et les certificats de dépôts. Le fond monétaire s’avère être l’investissement le moins risqué. Les fonds d’obligations désignent les fonds dont les actifs sont investis en obligations, tandis que les fonds d’actions sont principalement constitués d’actions. Les fonds mixtes font quant à eux référence aux fonds disposant d’un large panel d’actifs (obligations, actions, liquidités…). Bien que disposant d’un niveau de risque plus important que les autres fonds, les fonds mixtes sont de loin les plus rentables sur le long-terme. A cet égard, les fonds de fonds représentent un investissement plus intéressant. En permettant d’élargir l’investissement à d’autres fonds, ils assurent ainsi une meilleure rentabilité, tout en garantissant une prise de risque limitée.

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Votée le 21 juillet 2003, la loi Girardin s’adresse aux contribuables métropolitains désireux de profiter d’une réduction d’impôt attractive et rapide, en réalisant un investissement visant à soutenir le développement de l’activité industrielle des DOM-TOM.

Les objectifs du Girardin Industriel

Ce dispositif a vocation de relancer les investissements à destination des TPE et PME, dans le but de soutenir de manière durable le développement de l’économie industrielle dans les DOM-TOM.

Comment profiter du Girardin industriel ?

• En investissant dans le capital d’une société en nom collectif (SNC) dédiée au financement d’un projet industriel des DOM-TOM ;
• En conservant ses titres dans la SNC pendant 5 ans ;
• En effectuant un investissement minimum de 5000€*.

Les bénéfices du Girardin industriel

L’investissement du contribuable a pour but de financer l’achat de matériel industriel dont les entreprises d’Outre-mer se rendront ensuite locataires, en s’acquittant d’un loyer auprès de la SNC durant 5 ans.
Le montant total de l’investissement industriel est financé à travers la SNC par le contribuable à hauteur de 37%, par une banque pour 51% et par l’exploitant industriel pour la part restante, soit 12%. Des installations liées aux énergies renouvelables (éoliennes…) ou du matériel plus classique (grue, camion, bateau..), sont les types de biens auxquels les entreprises éligibles au dispositif pourront se rendre locataires puis propriétaires après un bail de 5 ans.

Ce dispositif accorde alors au contribuable une réduction d’impôt en année N+1, dit « one shot », d’un montant se situant entre 115 et 125% de l’investissement total réalisé par les 3 partenaires de l’opération.

*Il est à noter que les investissements supérieurs à 250.000 € seront sujets à un agrément délivré par Bercy et la DLSF (Direction Locale des Services Fiscaux). Les investissements d’un montant inférieur à cette somme ne sont pas sujets à un agrément de l’Etat.

Si vous souhaitez obtenir de plus amples renseignements sur le Girardin industriel, n’hésitez pas à nous contacter.

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Dispositifs de défiscalisation immobilière pour payer moins d’impôts

Les lois Duflot et Censi-Bouvard

La loi Duflot succède au dispositif Scellier et consiste à une réduction d’impôts sur le revenu égale à 18 % de l’investissement dans l’immobilier que l’on souhaite acquérir. Une disposition échelonnée sur 9 ans.

La loi Censi-Bouvard consiste à bénéficier d’une réduction d’impôt pouvant s’établir jusqu’à 11 % du prix du bien immobilier acquis en neuf et pour un logement meublé mis en location. Cette disposition s’établit sur 9 ans. Si l’achat est réalisé en résidence de tourisme, cette loi permettra de récupérer la TVA sur le prix HT de la valeur du bien.

Les dispositions des statuts LMNP/LMP

LMNP : loueur en meublé non professionnel LMP : loueur en meublé professionnel

Le statut sera déterminé en fonction des loyers perçus annuellement : LMNP < à 23000 EUR par an, LMP > à 23000 EUR par an

Le statut LMNP ouvre droit à la déduction de l’intégralité des charges foncières du revenu global.

Le statut LMP ouvre droit à la même réduction avec en sus l’allègement des droits de succession pour les héritiers. Pour une vente, l’exonération de la plus-value interviendra après 5 ans d’acquisition du bien avec des recettes locatives inférieures à 250 000 EUR.

La loi Girardin

La loi Girardin est un dispositif consistant à l’acquisition de logement neuf en vue de la location dans les départements d’outre mer jusqu’au 31 décembre 2013 permettant une réduction d’impôt jusqu’à 48 %.

La loi Duflot outre-mer

La loi Duflot outre mer permet de bénéficier d’une réduction d’impôt sur le revenu de 29 % dans la limite de 300 000 EUR qui sera échelonnée sur 9 ans. Le bien sera loué pour un usage d’habitation principale. Le taux de réduction sera majoré de 10 % par rapport à la Métropole.

Dans le cadre d’un investissement dans un projet immobilier ancien avec travaux de restauration, des avantages fiscaux intéressants seront accordés sous certaines conditions :

La loi Malraux bénéficie aux acquisitions d’immeubles anciens situés en zones protégées et destinés à la location non meublé pendant 6 ans. Les propriétaires déduiront de leurs revenus imposables, l’intégralité des travaux entrepris pour la rénovation du bien acquis.

Payer moins d’impôts grâce à l’investissement locatif

Investir dans la location c’est obtenir une défiscalisation immobilière pour anticiper sa retraite et prévoir l’avenir de ses enfants. L’immobilier demeure le meilleur placement pour un rendement efficace et obtenir des revenus complémentaires. Financer son projet locatif à crédit, c’est réduire ses impôts, augmenter son pouvoir d’achat et mettre à l’abri sa famille.

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