Jeunes actifs : développez votre patrimoine
Vous êtes sorti de l’école il y a maintenant quelques années et vous profitez pleinement de votre nouvelle vie ? Problème : vos revenus sont trop maigres pour réaliser d’importants investissements. Quelques astuces faire fructifier son patrimoine quand on est jeune actif.
Placez vos revenus
La première astuce consiste à consacrer une partie de ses revenus à l’épargne. Laisser son argent sur son compte courant n’est absolument pas productif. Ne vous contentez pas du livret A ou Développement Durable ! Ils ne rapportent plus rien. Privilégiez les placements en assurance-vie qui proposent un taux bien plus élevé. Vous pouvez choisir le niveau de risque de votre placement.
Défiscalisez autant que possible
La défiscalisation n’est pas réservée aux revenus les plus élevés. Plusieurs niches fiscales permettent de réduire (modestement) ses impôts. Par exemple en ne possédant pas de téléviseur, vous êtes exempté de redevance tv (136€ en 2015). Utilisez les Chèques emploi service si vous embauchez une baby sitter. Les heures payées peuvent être déduites d’impôts à 50%. N’oubliez pas également que les dons aux associations sont en partie déductibles d’impôts. Jusqu’à 75% pour les organismes d’aides aux personnes en difficulté.
Investissez dans l’immobilier
Et oui ! Certains investissements dans l’immobilier peuvent démarrer à des prix très bas. Acquérir un bien immobilier vous permet de vous constituer un patrimoine. En plus d’une plus-value à la revente, vous pouvez bénéficier de revenus locatifs en mettant votre logement en location.
De plus, certains types d’investissement vous donnent la possibilité de déduire fiscalement une partie du montant de votre acquisition. C’est par exemple le cas des investissements en LMNP. En acquérant un logement dans une résidence service (EHPAD, résidence étudiante…), vous pouvez bénéficier des avantages fiscaux de la loi Censi-Bouvard. A titre indicatif, un investissement en résidence étudiante nécessite environ 150€ d’épargne par mois pendant 9 ans (en prenant en compte les exonérations d’impôts et les revenus des loyers s’octroyant aux charges).